samedi 22 octobre 2011

J'ai fait une balade en ville aujourd'hui

   
Et j'ai croisé...
 
Un homme demandant son chemin à une vendeuse de ballons


Des oiseaux en cage devant le stade style "classique"

Un cheval



Des oiseaux en cage et de la lessive en train de sécher

jeudi 20 octobre 2011

Une mère et son fils

 
Ma Dalton et Joe version chinoise?

mercredi 19 octobre 2011

Après-midi sportive à l'école, pour renforcer les liens avec les élèves...


J'aurais vraiment tout fait...

Prévenue le jour d'avant, sous la forme d'un: "tu es libre demain après midi, pour sauter sur un ballon?"
"Je vous demande pardon?"
"Oui, sauter sur un ballon, avec les étudiants, ça amuse les élèves et ça améliore les relations avec eux."
"Euh... oui... non, je crois que j'ai cours..."
"Non, non! Tu finis à 3h et ça commence à 3h30!"
"Ah."

Arrivée sur le terrain, l'ambiance est à la fête. Des collègues (et mon directeur) courent après des cerceaux métalliques qu'ils poussent avec une baquette, des étudiants marchent avec des skis communautaires, des collègues et des élèves sautent avec des ballons de course et d'autres attendent et regardent, assis sur d'étranges chenilles. On est irrémédiablement attirés par ces dernières, rigolotes et confortables. "C'est ta chenille" m'annonce-t-on. Ah. Je vais faire de la chenille aujourd'hui...

Je retrouve mes élèves de ma dernière classe, que j'ai éreintées en grammaire. Elles rougissent de partager une chenille avec moi. Et hop, départ, on court, une grosse chenille entre les jambes qui vous encombre les pieds, lourde, longue. Les autres chenilles ont encore plus de peine, j'y crois pas! On a gagné!

J'ignorais que j'eus du talent à la course de chenille. J'ai pu prouver plus tard que j'en avais beaucoup moins à la course de ballon.

Supporters avec mains en plastiques pour applaudir

Hue les chenilles !

Skis communautaires

Et que ça saute!

Comme à la bonne époque: allez les profs
Pour référence, premiers contacts avec ces activités chinoises qui donnent envie de se cacher sous le tapis (ou la pelouse, c'est selon).

jeudi 13 octobre 2011

Brochettes de petites pommes chinoises caramélisées


Un peu de couleur dans un monde de grisaille urbaine

On ne les trouve qu’en Chine, c’est petits fruits ronds qui ressemblent à des pommes miniatures et qui ont plus de pépin que de pomme.

Piquées sur des brochettes, enrobées de sucre chaud et d’un fin papier de riz comestible qui évite de trop s’y coller, c’est la spécialité chinoise par excellence ! Une spécialité de Pékin en fait, mais que l’on trouve partout. C’est même le stéréotype de la sucrerie chinoise.

Les vendeurs, souvent ambulants, avec leur vélo hérissé de brochettes, mettent de la couleur dans la grisaille des mégapoles polluées. Dans un paysage noir et blanc, la brochette de petites pommes rouge vif détonne comme les chaussures de Dorothy dans le monde d’Oz. On la croise partout. Elle fait partie des petits plaisirs du dimanche, des fêtes foraines, des balades en montagne. La voilà, au coin des rues, dans la montagne, à Pékin, à Xi’an, à Tianjin et à Limutai, dans le comté du Jixian.


Confection
Vendeur de brochettes de pommes dans la montagne
Dans la rue, sur un vélo hérissé

vendredi 7 octobre 2011

Enfin de retour sur mon blog...

   
Pour une dernière année en Chine...

Hop! Ça n'a pas été facile cette fois, mais me revoilà. Toujours à Tianjin, mais au centre cette fois, j'entame ma cinquième et dernière année en Chine. Dans l'attente de savoir si le poste que je convoite au Cambodge me sera accordé, dans la certitude que si ce n'est pas le cas, je quitte Chine pour aller voir ailleurs, recommencer à explorer et surtout, trouver un lieu d'où je puisse m'échapper par de belles escapades dans la nature pendant mon temps libre. Car c'est cela qui me manque le plus ici. Prisonnière d'un urbanisme inhumain, centré sur la consommation et le "développement", cela coûte de grands efforts de partir à la recherche de quelques hectares de verdure tranquille. cela coûte la traversée de la ville, faire face à sa pollution, aux foules, aux transports publics, trouver le bon bus, la bonne station, faire la queue en suant pour obtenir un billet pour un train qui ne vient pas (trois fois que j'ai tenté de rejoindre Shijiazhiang sans succès). Bref, quelques virées de temps à autres ça passe mais ce n'est pas un sport reposant à pratiquer tous les week-end. De plus que les miens sont très courts.

Du coup, moins d'exploration, mais toujours des choses à voir. Ayant acquis un IpodG4 sur lequel j'ai installé Hipstamatic, je me fais une joie de prendre des photos retro de la Chine de tous les jours, celle que les gens vivent au quotidien, et des gens (le Ipod étant pus discret que mon superbe mais encombrant Nikon D5000).

C'est donc des scènes de tous les jours qui apparaîtront ici, entre quelques explorations moins nombreuses (et j'ai aussi du rattrapage à faire à ce sujet).

Première scène: j'ai un vélo auquel j'ai fait fixer un panier (prochaine étape: un phare!)
La femme qui s'est occupée de mon vélo était très fière de me présenter ses deux criquets en cage (qui sont je dois l'admettre la raison pour laquelle je me suis arrêtée chez elle) et son mainate, qui nous à rejoint plus tard à bord d'un touktouk.

La réparatrice de vélo et ses criquets contre la palissade

Fixé en 5 minutes. 20 Yuan le panier, 15 le nouveau cadenas.

Deux criquets dans leur cage respective attirent l'attention du client et portent bonheur

Réparatrice de vélo mobile: elle vend même les paniers

samedi 1 octobre 2011

Ah ben on a collé un drapeau devant ma fenêtre...

  

Pour la Suisse, c'est la bonne couleur, mais pas tout à fait le bon motif...

Bon anniversaire, la Chine!
Related Posts with Thumbnails